AU
En cliquant sur ce lien vous aurez le bruit en plus ! Je tiens à souligner que je comprends que de tels travaux comportent de très grands désagréments ! Ce que je n' accepte pas c' est la façon dont ils sont gérés par le syndic et ses affidés !
Demain
- 2 novembre - c' est mon anniversaire !
Pendant ....
AVANT
Voilà les Amis tout est débranché   le temps de me reformater le disque dur
Parfois certaines Personnes font juste semblant de vous venir en aide à.....distance ! Vous laissant choir dans le trou un peu plus profond par leurs réflexions inappropriées! Elles se reconnaîtront !!!
Mais comment voulez-vous que je n' ai pas le moral  en berne  à cette heure ! Autant contre les indifférents, les donneurs de leçons et les Jean-foutres ! Ah oui j' allais oublier l' Hôpital où ils me prennent un jour par çi et deux heures par là, puisque les lits sont réservés en priorité  pour les COVIDéS ( sauf quand je me tape une acidocétose corsée et que je rentre directos à l' hosto en ambulance ) ! Et le personnel hyper stressé même plus fichu de me prescrire les soins et médicaments habituels oubliés sur l' ordonnance ! Bref une vraie ruine en taxis ( ne pouvant marcher à cause de l' état alarmant de mes jambes et de mes pieds ) mais au moins je peux parler à l' Etre humain séparé par un mur en plastique transparent à l' intérieur, vous savez celui qu' on appelle chauffeur.  Arrivée à  l' hosto, après le passage obligé dans bagnole devenue une sorte d' aquarium à quatre roues,  on est traité comme dans une usine ni plus ni moins. J' ai quitté l' Hopital Cochin par choix pour atterrir à Lariboisière plus près de chez moi qui, soit dit en passant, est le plus crados de Paris ! Ne vous retrouvez surtout pas aux Urgences ! Enfin du temps où j' ai dû être transfusée en catastrophe en l' an 2000 cela a dû être rénové, j' arrête de suite de faire du mauvais esprit.
 
Voilà où j' en suis et je suis invitée à garder mon calme en retenant mes pleurs ou plus justement mes nerfs car il y a belle lurette que je n' ai plus en réserve de larmes à verser et mes nerfs ne sont plus qu' un embrouillamini de vermicelles chinois en capilotade. Je vais avoir 74 ans demain et une fois de plus et sans doute -  une fois de trop j' en ai bien peur - je passerai aussi  Noël toute seule ! J' espère que mes 5 mg de sucre dans le sang finiront par se faire la malle, étant caramélisée de la tête à l' orteil qui sied au milieu du pied droit entrain de virer en gangrène. Et cela depuis près d' un mois.
 
A part cela Madame la Marquise tout va très bien !
 

Enfin cerise pourrie sur le gâteau ce midi alors que présentement je m' étais absentée une heure pour aller déjeuner   les ouvriers -  dont la plupart ne parlent pas un traitre mot de français donc difficile de se faire comprendre - en ont profité pour déplacer derrière mon dos un coin pour se faire davantage de place à mes dépens, malmenant une fois de plus mes pauvres plantes . Bientôt ils vont finir par forcer mes fenêtres pour ranger leurs outils et matériaux chez moi ! Voilà où j' en suis tandis qu' ils se sont tous empressés de quitter  Paris pour profiter à leur guise de ce long week-end ! Je fais partie  des très rares résidents à rester sur place," comme d' hab' " dirait l' autre ! Je devrais être en effet habituée au bruit que font les valises à roulettes en partance vers des cieux plus cléments tant d' étés et de périodes de fêtes passés dans un isolement total et forcé, à entendre mes voisins traverser cette fameuse cour.
 
Et bien je ne m' y fais pas ! Et  pour le temps d' années qui me restent à vivre je crains ne m' y faire  jamais vu les dernières mesures présidentielles  circonstanciées outrancières !
 
Mon fichu syndrôme a donc repris le dessus de plus belle. Je vis entourée à cette heure d' un foutoir pas possible autant intérieur qu' extérieur alors que je commençais à reprendre ma vie quotidienne en main avec peine, mais bon  cela m' a au moins permis de remettre une partie de ma cuisine en état ; pour le reste à nettoyer dans mon gourbit on verra, j' en ai trop marre ! Ajoutez à cela les conseils à distance rebatus par les copains et les conseilleurs pour m' encourager, je sais je me répète, je radote, c' est l' âge  allié au ras-le-bol, ha ha ha ! Depuis l' arrivée du COVID je n' ai pu quitter Paris intra muros et vivre ne serait-ce que normalement comme tout le monde ( et comme chacun d' entre vous  mes Potes ) à cause de mon autre syndrôme au vilain nom de Guillain-Barré. Je ne suis pas en droit d' obtenir un quelconque pass sanitaire en dépit de mes demandes réitérées auprès des Toubibs pour pouvoir partir à Berlin, fuir ce pays de m....  ! Seul le Café-restaurant Lévis a eu pitié de moi ce midi en m' invitant exceptionnellement à déjeuner - tout au fond de la salle par précaution à cause du COVID (  vu que l' apprenti dictateur, le dénommé MACRON,  me range dans la catégorie des pestiférés ! ) Un cadeau d' anniversaire  en quelque sorte de mon voisin restaurateur. J' étais là seule isolée au fin fond de cette salle de restaurant avec mon bouquin,  coincée entre les WC et la cuisine . Mais le couscous ne m' a jamais semblé aussi bon et le serveur et le cuisinier aussi prévenants. Soit dit en passant un Asiate, le patron, Eddy  le Kosovar et Rachid le cuistot maghrébin. Plus besoin de voyager j' ai le monde à ma porte. On se console comme on peut en dépit de cette éprouvante et insupportable  frustration : être privée de Liberté, en ce qu' elle comporte à la base de plus élémentaire : aller d' un point à un autre . " Pas la peine d' en faire un plat " seule fausse note balancée à quelques mêtres de moi par le dénommé Bébert le rigolard, barfly notoire dans le quartier doté d' un quotient intellectuel de bigornot,  accoudé au comptoir en  "zinc" devant son  verre de blanc sec depuis plus de quarante années !
Trois échafaudages ont débarqué fin septembre   dans cette cour en vue de la réfection complète d' une toiture dans l' immeuble du devant  et la remise en état total d' un immense  mur mitoyen côté 26 rue de Lévis  et cela sans que le Syndic ait pris la peine de me prévenir, honte à lui. Je vous passe les installations démentielles, les plantes et arbustes déplacés à hue et à dia sans précautions particulières prises par les ouvriers des deux entreprises. Sublime décor quasi massacré sous mes yeux désolés parcequ' impuissants ! Le bruit, la poussière, le marteau piqueur des jours durant ! De surcroît sans cesse sollicitée pour leurs besoins  étant la personne qu' ils pensent être à leur disposition vu que je suis là à résidence toute la journée et pour cause je suis devenue les années passant la plus vieille habitante de l' endroit alors que je fus au tout début des années 80 la plus jeune ! A présent  retraitée à demeure ! Ils tapent aux vîtres, à la porte, Woody  le chien n' arrête plus d' aboyer tandis que les quarante autres résidents, copropriétaires ou locataires s' en foutent royalement et partent tranquilos vaquer à leur occupations professionnelles ! Aucun ne s' est proposé de m' aider ! En conséquence qu' on ne vienne pas me dire " je sais ce que sont des travaux Elizabeth nous en avons eu  dans notre immeuble, faut bien que ça se fasse  et ca va passer - sous-entendu - faut prendre votre mal en patience Elizabeth, ne vous mettez pas dans des états pareils,  au moins vous serez débarassée d' un coup plutôt que de subir les travaux à la queu leu leu durant 6 mois " ! Je me permets de répondre en particulier à ces aimables personnes, jeunes ou vieux Bobos, que cela dépend de la position  où l' on se place dans l' immeuble . Personnellement je suis aux premières loges ! Obligée   de vivre les double-rideaux fermés de 8 heures du matin à 17 heures, les ouvriers travaillant à un mètre 50 de mes fenêtres, parfois moins, Cloîtrée en moi-même par ces fichus travaux - en plus des recommandations absurdes liées au COVID -Travaux qui risquent de durer jusque fin décembre et encore s' il le temps mauvais de l' hiver nous l' accorde et qu' il ne pleut pas !
Paris, 1er Novembre 2021
 

Je ne vais pas bien du tout les Amis. Tellement mal que je peine à retrouver les automatismes basiques qui me permettent de venir  communiquer ici sur ce site ne serait-ce que pour installer cette page, c' est dire.  Site abandonné depuis des mois pour les causes que la plupart d' entre vous connaissent.
 
Modeste rebond de quelques jours la semaine dernière mais pour mieux replonger.
 
Mais comment voulez-vous que je m' en sorte ? Bien malins ceux qui me balancent des conseils et autres encouragements espérant que cela va me remettre sur les rails ! Mais là je n' en peux plus, je ne suis pas une super women. L' ai-je jamais été ?!
 
Cet été j' ai entrepris de rafraîchir et d' embellir  la cour devant mes 3 fenêtres par de nouvelles  plantations  et mobilier de jardin en partie renouvelé . Mathilde, Thomas et Léa, trois Petits Jeunes très sympas mais Grands par l' esprit de solidarité,  sont venus me donner un sérieux coup de main. Cela a permis à quelques voisines jalouses nouvellement installées dans l' immeuble de se manifester dans la foulée du haut de leurs fenêtres arguant le fait que je m' appropriais la cour alors que j' ai l' accord du syndic   et de la copropriété toute entière depuis l' achat de nos appartements en 1987, renouvelé en 2012 ! A savoir que ce que je fais dans cette partie commune c' est dans l' intérêt de la collectivité toute entière :  les 3 fêtes de voisins - que j' y ai donné en majeure partie  à mes frais - comprises.
 
Mais le pire restait à venir.Paris, 1er Novembre 2021
 

Je ne vais pas bien du tout les Amis. Tellement mal que je peine à retrouver les automatismes basiques qui me permettent de venir  communiquer ici sur ce site ne serait-ce que pour installer cette page, c' est dire.  Site abandonné depuis des mois pour les causes que la plupart d' entre vous connaissent.
 
Modeste rebond de quelques jours la semaine dernière mais pour mieux replonger.
 
Mais comment voulez-vous que je m' en sorte ? Bien malins ceux qui me balancent des conseils et autres encouragements espérant que cela va me remettre sur les rails ! Mais là je n' en peux plus, je ne suis pas une super women. L' ai-je jamais été ?!
 
Cet été j' ai entrepris de rafraîchir et d' embellir  la cour devant mes 3 fenêtres par de nouvelles  plantations  et mobilier de jardin en partie renouvelé . Mathilde, Thomas et Léa, trois Petits Jeunes très sympas mais grands par l' esprit de solidarité,  sont venus me donner un sérieux coup de main. Cela a permis à quelques voisines jalouses nouvellement installées dans l' immeuble de se manifester dans la foulée du haut de leurs fenêtres arguant le fait que je m' appropriais la cour alors que j' ai l' accord du syndic   et de la copropriété toute entière depuis l' achat de nos appartements en 1987, renouvelé en 2012 ! A savoir que ce que je fais dans cette partie commune c' est dans l' intérêt de la collectivité toute entière :  les fêtes de voisins que j' y ai donné à mes frais comprises.
 
Mais le pire restait à venir.
Etat des lieux
 


Ainsi je vis ma vie ici à Paris confinée à donf dans cette ville devenue maudite et infréquentable à mes yeux grâce à la gouvernance apocalyptique d' Ana La Dingo dîte la reine des Bobos, Notre DRAME de Paris etc. Disons plutôt que j' y survis cahin caha  entre Baloo et Woody, mes deux petits compagnons d' infortune. Coincée entre mes Livres vénérés et  l' écran de mon ordi chéri pour  tenter de communiquer avec vous mes Amis lointains et sans doute vaccinés mais désormais inatteignables  en plus de quelques  Créatures virtuelles inconnues bien que très vivantes !
 
Vive les réseaux sociaux encore que....
 
Sur ce je raccroche, il me reste deux  bonnes heures à dormir si j' y parviens, accrochée à l' espoir de vivre quelques rêves heureux  qui coloriseront furtivement mon univers poussiéreux  ! Depuis que j' ai arrêté de prendre cette saloperie de RIVOTRIL, censé calmer il y a quelques années mes premières douleurs neuropathiques, je me suis mise à rerêver de choses plus sympathiques en dépit de la souffrance accrue qui s' est développée au fil des ans  mais  que je parviens malgré tout à plus ou moins bien à gérer. Toujours cela de gagné !
 
Savoir prendre les bonnes décisions  dans la vie mais là, il y a deux ans,  je me suis loupée...Jamais je n' aurais dû m' incruster ici en France à Paris en m' installant dans ce viager ! JAMAIS !
 
Le deuxième mais dernier choix malheureux de ma vie entrain de clôturer BETHement ma destinée. 
 

28, Rue de Lévis à Paris le  1er novembre - jour de Toussaint - à 4 heures 18 du matin
Je suis responsable de ce que j' écris
Je ne suis pas responsable de ce que vous comprenez
Bien descendre au bas des pages
Clic sur les photos