Je n'ose définir ces pseudos féministes décérébrées, lobotomisées avec un Qi de palourde et 1 seul neurone frelaté ! Bref de dangereuses psychopathes encouragées par Schiappa a n'en pas douter ! La dégénérescence de ce pays est affolante !
 
Michel
Elles sont malheureuses les pauvres, elles crient, elles revendiquent, elles brandissent des pancartes, elles collent des affiches Elles ont raison. C’est le système matriarcal qui est l’enfer. .
Regardez les femmes du 19ème siècle, sur les cartes postales, sur les photos, plutôt que d’écouter les historiens bonimenteurs . Elles ont l’air parfaitement épanouies et sereines, en famille, entourées d’enfants, aux champs, ou en ville dans les cafés , ou dans les rues, sans crainte.. Elles ne passent pas leur temps à revendiquer. Elles s’occupent de leur famille, des animaux de la ferme, elles travaillent aux champs, ou bien elles tissent, elles brodent, elles crochètent, elles confectionnent leurs vêtements, elles font des merveilles, sans le savoir, elles sont épanouies. Et même pas de machines à laver la vaisselle et le linge inventé par les machos blancs. Tout à la main. Regardez les aujourd’hui se plaindre de tout. C’est normal. Elles ne font plus rien, même pas des enfants, elles se morfondent, elles s’ennuient. Faut les comprendre, avec ces blancs qui jouent aux tapettes. Obligées de jouer aux lesbiennes.
Mais l' espoir est là. Elles comptent sur l’Islam pour retrouver la joie de vivre, Pour faire des enfants comme les Musulmanes. La preuve, les voilées se battent pour rester voilées. C’est vrai, ça devient pesant cette absence d’autorité.
Vite le retour au patriarcat, ou chacun a sa place et joue son rôle.
Allez les filles, ne vous inquiétez pas, les migrants musulmans arrivent.
Allez les filles ! courage !
 
signé Bernard,
mâle blanc de plus de 50 ans !
A propos de ma vie professionnelle = IDEM
 
Là aussi je n' ai rien à revendiquer  ayant toujours été payée à égalité c' est à dire au niveau du salaire des Hommes que ce soit en tant que Reporter free lance, Educatrice ou Documentaliste ! Sans doute parce que ces jobs je les ai exercés plus ou moins en indépendante !  En prenant les risques inhérents à ces trois fonctions. Ce qui me valu de connaître le chômage. Mais c' est le prix à payer quand on veut rester LIBRE !
J' ai été mariée durant une petite dizaine d' années avec un Monsieur qui fut élevé avec les valeurs d' une famille très traditionnelle et très ancré de surcroît les deux pieds dans la terre de sa Beauce natale, c' est dire ! Et pourtant je ne l' ai jamais vu jouer les Machos ni même poser au chef de la famille.
 
Sortant de la maternité, je le revois changer les couches de notre bébé, se relever la nuit pour les biberons, faire la vaisselle et même parfois le ménage et le repassage alors que j' étais femme au foyer ! Il trouvait tout naturel de partager les tâches ménagères !
 
Comme il trouva naturel que j' ai un compte bancaire personnel dés que la loi en faveur des femmes fut votée pour parvenir à l' indépendance financière ! Je n' eu même pas à lui demander la permission !
 
Jamais un coup, jamais un cri  !
durant toute la durée de notre union maritale.
 
Pour toutes ces raisons, je lui en sais gré.
 
Pour le reste, lors de notre séparation, c' est une autre histoire qui a débuté un soir devant l' évier de la cuisine où il retira son alliance grâce à Paic Citron ( lol ) pour la déposer sur le rebord du bac à vaisselle ! Jusqu' au dernier jour de notre vie commune, il fut fidèle à PAIC CITRON, un nettoyant vaisselle ! MOI Je n' eu pas cette chance, il ne me fit pas cet honneur mais continua à  laver ou essuyer  couverts et assiettes sans que j' ai eu besoin de lui demander et cela jusqu' au dernier jour.
 
Le jour où notre mariage vola en éclats !
 
Depuis j' ignore s' il est resté fidèle à cette marque mais moi oui.  " La fidélité "chez les Hommes se situant ailleurs " ! Méfiez-vous les Nanas quand les Hommes sont trop gentils avec vous, ils vous préparent peut-être des mauvais coups ayant une avance sur votre confiance ou votre naïveté après avoir  pris la précaution d' assurer leur arrière. Moins d' un an plus tard il était remarié avec la fabrication d' un bébé anticipé dans un autre tiroir ! Si certains hommes sont des machos, les nanas sont les reines des  enfants dans le dos ! Le moyen comme un autre qui assure l' égalité ! Lol !!!
 
Quant à mon alliance elle repose là où je finis par la jeter quelques jours plus tard : dans l' une des bouches d' égoût du 6 avenue des Pensées où elle doit y reposer encore 40 ans plus tard quelque part entre Paris et Orléans au bord de la N20 !
 

Virginie Despentes
 
Caroline Fourest
 
Orlan
 
Caroline de Haas
 
Clémentine Autain
 
Audrey Pulvar
 
Inna Shevchenco
Et les Folles furieuses 
 
à ne pas mélanger !
En vrac et en bref quelques Femmes  remarquables
COURRIER de mes chers Lecteurs
le 24 janvier 2020
Je suis responsable de ce que j' écris
Je ne suis pas responsable de ce que vous comprenez
Nous sommes égaux c' est entendu Liza !
 
Dieter
sans oublier la vulgarité crasse
 
d' une bande de cinglées ....
Le regard " terrifiant " d' une néo féministe :  Adèle HAENEL à qui on pourrait enlever le L de son nom tant elle paraît être dans la HAINE !
La dignité des Féministes
à l' ancienne
O rage O désespoir féminisme quand tu les tiens ! Ces mots en -isme ne sont bien souvent que des concepts. J' ouvre à ce propos une parenthèse ( Les concepts sont ce que l’on utilise pour créer du sens et des discours intelligents mais en philosophie ils peuvent être considérés comme réducteurs. Taxez quelqu' un de bidul...iste et un spécialiste vous démontrera par a + b, textes à l' appui,  que cette qualification est excessive, infondée, stéréotypée. Les systèmes de pensée intéressants sont complexes, multilatéraux, et ne peuvent se réduire à une idée directrice. Une étiquette pseudo-savante peut aider à développer un discours théorique, certes ! Mais en aucun cas les mots ne devraient servir de totem identitaire à tous ceux qui manquent de chevaux de bataille. Et en ma qualité de femme LIBRE il est de bon aloi de refuser les étiquettes et les mouvements du prêts-à-penser qui vous dicte ce que vous vous devez d' être !
Voilà pourquoi existe un véritable ras-le-bol vis-à-vis de toutes ces associations féministes qui s'érigent en inquisitrices de la pensée, qui essayent de faire taire à coups de discours hystériques, de procès, d'amendes, de condamnations ceux et celles qui refusent d' entrer dans leur délire de persécution entres autres. Car depuis que le multiculturalisme est enfin reconnu comme un échec, le caractère antirépublicain et clairement communautariste de ces associations devient plus flagrant. D'où cette redondance des mêmes thèmes depuis 30 ans et de nouveaux qui surgissent comme le mouvement METOO.  Cela me semble une aberration et ne fait qu' aggraver les problèmes . Puisque l' on veut être totalement égaux pourquoi revendiquer nos droits de façon séparée des hommes ? Je ne doute pas que cela ait pu être  une position intéressante pour les Féministes soixante-huitardes pendant quelques années dans le but de " réveiller les consciences ", mais s' acharner ainsi durant trois décennies ça me semble contre-productif. Je pense qu'on doit être jugé sur nos compétences, pas sur notre sexe. Jamais, je n' irai me plaindre des différences à mon niveau, parce que non je n'en vois pas. Certes le droit de vote fut une victoire nécessaire mais je suis plus réservée sur l'avortement qui a été accordé au moment où la pilule fut déclarée à portée de toutes les femmes, nous avons pu ainsi maitriser au plus juste notre fécondité d' autant que d' autres contraceptifs furent mis eux aussi sur le marché en parallèle. En ce qui concerne le travail cela est un droit bien sûr mais doit être aussi un choix de vie pour celles qui veulent élever leurs enfants ( les Mères au foyer, dont je fus au début des années 70, ont été stigmatisées et souvent moquées par celles qui avaient choisi de devenir des super women. La vérité vraie c' est que dès les évènements de Mai 68 un système marchand, pour pousser à la consommation,  fut mis en place aidé par les Politiques ( affilié au Grand Orient de France se réclamant héritier de l' Esprit des Lumières ! ). Cette coalition d' esprits sachant faisant la pluie et le beau temps dans les gradins de l' Assemblée Nationle ) leur a fait croire que le travail les rendrait  libres , aujourd'hui on voit bien qu'il est difficile d'aligner une double journée en étant femme et mère active à la fois. La plupart d' entres elles sans qualification étant plutôt asservies Nous sommes allés tellement loin dans l' absurdie  que même si les femmes choisissaient de ne plus travailler, ça ne changerait rien, les dégâts sont irrémédiables dans la société au niveau de la famille en particulier le mouvement féministe a fait croire que les femmes étaient libérées alors qu' elles tombaient dans la pire des contraintes : la nécessité, et non la liberté,  mais de quoi ? De faire tourner pleins pots la nouvelle société de consommation dirigée de mains de maîtres par cette cabale. . Bien peu en sont conscientes hélas alors que la plupart des filles " libérées " de ma génération qui hurlaient dans les années 70-80 " jamais sans mon travail " pleurnichaient sur leurs ordinateurs, 40 ans plus tard, dans l' attente de leur retraite qui leur permettrait de profiter de....leurs petits-enfants ! Je les entends encore gémir et regémir dans leur bureau devant leurs ordinateurs qui ont fini par remplacer leurs machines à écrire devenues désuètes et mises à la casse.
Pour moi le Travail n' est jamais que le côté technique et financier  de la chose pour toutes celles qui n' ont  pu choisir vraiment un métier de coeur et qui se sont retrouvées pour la plupart en tant qu' employées de bureau dans le secteur tertiaire ! Collant leurs gamins, à peine nés, en nourrice ....Bien peu d' entre elles se sont issues aux postes de direction même si elles s' en vantent à l' occasion sur les réseaux sociaux ! Je parle, of course, pour les filles nées de la génération du Baby-Boom.
 
Conclusion du  point de vue identitaire,  oui je suis une femme, oui je suis capable de faire tout ce que j'ai envie de faire, non pas parce que les féministes ou la  société me disent de le faire en affirmant ce qui est mieux ppour moi, mais  enfin, juste parce que j'en suis simplement capable.
 
Parfois, il faut arrêter de se brancher sur des pseudos idées innovantes et progressites que les Politcards nous proposent.
 
Pour moi le féminisme aurait déjà dû commencer à disparaitre, à mesure que les femmes prennent la ou les nouvelles places qui leur conviennent dans la société, et à terme, si les féministes gagnent, leur mouvement doit disparaître mais ça bien sûr elles ne renonceront jamais à leur fond de commerce en tant que berniques accrochées rageusement à leur rocher ! 
Ce que le féminisme devrait signifier selon moi, c'est qu'il ne faut pas laisser notre genre définir qui nous sommes ;   vous pouvez être qui vous le souhaitez, peu importe que vous soyez un homme, une femme, un garçon ou une fille, hétéro, homo ou trans sexuel, nous sommes tous des Etres humains au départ, nés nus sous le même soleil. " La chose la plus séduisante chez une femme, me disait un Ami, est sa confiance en soi, son indépendance, sa liberté d' esprit tout ce que tu es toi Elizabeth " Merci Karlitou. C' est vrai que je suis trop insubordonnée de nature pour me sentir  dominée ou méprisée par les Hommes,  par aucun de ceux que j' ai rencontré d' ailleurs. Je crois que la meilleure façon, aujourd'hui, de lutter contre les Machos, têtes de Turc de ces harpies,   est de se comporter réellement, en toute circonstance, comme si l'égalité homme / femme allait parfaitement de soi. Donc de les ignorer quand ils vous agressent ! D' ailleurs je n' en ai pas rencontré beaucoup de Machos dans ma vie, je subodore que dès qu' ils me voient ils changent de trottoir. Pas besoin pour cela de les foudroyer du regard comme le fait Adèle Haenel, juste poser à l' indifférente en restant soi-même.
En ouverture pourquoi ne pas me poser cette question à savoir " suis-je féministe ? "
 
Mais avant de répondre à cette interrogation, je préfère énoncer ce que représente à mes yeux le féminisme, ou plutot celui brandit de nos jours et à tout propos par des néo féministes parées de leurs atouts victimaires, ce qui engendre beaucoup de dérives et aussi pour cette raison tant des rejets, dont le mien alors que je ne ressens  rien de semblable pour les Sufragettes du début du siècle dernier pour lesquelles j' éprouve beaucoup de respect.
 
Ces néo féministes insupportables dans leur fonctionnement se forgent à elles-mêmes les chaînes dont les hommes  ne souhaitent  pas tous les charger loin de là. J'ai l'impression que, bien souvent, les filles qui s'abritent derrière des mots tels que féministe" se rangent dans une case à l'attention de nous autres les non-féministes, sans méditer en profondeur sur  leur engagement. Je pense  que toutes ces belles causes ne sont que des panneaux de signalisation, des mises en garde, des moyens de s' affirmer, peut-être la quête légitime d'une utilité sociale, mais bien rarement quelque chose de vraiment intelligent se complaisant à aller gueuler dans les rues en affirmant :  "regardez-moi, j'existe, j'ai une personnalité, je suis fière d' être féministe ". Je vais me faire immoler en public, mais leur fierté aussi revendicative que vindicative à outrance et exhibée à tout propos  par ces folles furieuses ( pendant des LGBT ) ça me fait rire. Perso moi si je dois être fière de quelque chose c' est  de poursuivre mon chemin de manière individuelle, ne m' interdisant rien que s'autorisent les hommes. D' un point de vue identitaire oui j revendique d' être une femme qui n' a pas besoin de se clamer féministe, en bande en ligue en procession,  étant capable de faire tout ce que j' ai envie de faire, non pas parce que le féminisme outrancier ou la société me le recommande , juste parce que j' en suis simplement capable en tant qu' être humain. Non  vraiment la femme n'est victime d'aucune mystérieuse fatalité ! Les idées véhiculées par  les  Femen ou encore l' agressivité de certaines  militantes envers les hommes, relèvent bien souvent du fantasme. Ce sont, pour la plupart d' entres elles, des nanas mal dans leur peau qui ont des comptes à régler avec la gente masculine à tort comme à raison sans doute mais jamais je ne rentrerai dans leurs jeux de démolition revancharde je suis trop indépendante pour aller me commettre avec ces furies. OUI je suis une femme, oui je suis capable de faire tout ce que j'ai envie de faire, non pas parce que la société le reconnais enfin, juste parce que j'en suis simplement capable ( je sais je radote ). Parfois, il faut arrêter de se reposer sur la société ! Ou encore se soumettre d' emblée aux idéologies nouvelles sous prétexte de progressisme !
De David à Elizabeth
Je voudrais rajouter une petite contribution pour ma part.
 
Tout d'abord, je tiens a dire que je suis pour certains combats féministes: le plafond de verre, les discriminations et l?égalité des sexes en général.
 
D'ailleurs, si les féministes étaient vraiment pour l'égalité des sexes, elle ne délaisseraient pas certains combats, je vais en citer 6:
 
1°) En justice, à délit égal, les hommes sont statistiquement plus souvent condamnés, et a des peines plus lourdes et longues que les femmes, notamment lorsqu'il s'agit de prison ferme. Prenons par exemple les infanticides: la justice et bien plus ferme à l'égard des hommes et bienveillante a l'égard des femmes. De même, les fausses accusations féminines ne sont pas poursuivies par le parquet.
 
2°) Contrairement aux femmes, la société ne se soucie guerre à la sécurité physique, matérielle, émotionnelle et morale des hommes, notamment lorsque l'agresseur est une femme. Au canada et aux états unis, par exemple, des études ont montré que 50% des violences conjugales (morales et physiques) étaient le fait des femmes. Ici, en France, le numéro de téléphone violence conjugale 3919, reroute systématiquement les hommes victimes de violence conjugale, et les suicides masculins ou les violences subies ne sont pas suivis d'enquête.
 
3°) La paternité en France en cas de divorce est insignifiante. En effet, la garde des enfants est trop systématiquement reléguée aux mères, alors que les deux parents sont également importants pour le développement d'un enfant. Dans le meilleur des cas, un week-end sur 2 est accordé au père, le reléguant ainsi en parent de seconde zone, plus connu sous l'appellation "papa mac-do". Le rôle ainsi accordé au père dans l'éducation de leurs enfants est ainsi toujours conditionné à la bienveillance de la mère ("il n'y a rien de mieux qu'une maman pour savoir de quoi a besoin son enfant"), et cette menace bride les liaisons affectives père-enfant.
 
4°) Les cours scolaires sont majoritairement donnés par des femmes, appliquant ainsi des méthodes féminines favorisant les filles (les filles ont besoin qu'on leur explique, les garçons ont besoin qu'on leur montre). Les féministes ont un manque d'intérêt manifeste vis a vis de ces problèmes et des difficultés scolaires qui en découlent, de la nécessité d'aides spécifiques et les difficultés rencontrées dans un milieu "hautement féminisé" qui serait, particulièrement chez les plus jeunes, hostile aux garçons.
 
5°) Le féminisme ne se pose pas non plus la question sur les droits liés à l'enfantement : la création d'une procédure administrative qui libérerait les hommes des obligations liées à un enfant conçu contre leur volonté (par exemple par une femme qui prétendrait faussement être sous contraception) ou un enfant simplement non désiré (par exemple lors de l'inefficacité d'un moyen de contraception), le développement d'une "pilule pour hommes", la gratuité de tests ADN pour déceler les éventuelles fraudes parentales et, de manière générale, le droit à la paternité.
 
6°) Un conditionnement dont sont victimes les hommes. Par le cinéma et l'éducation donnée par certaines mères, certains hommes sont éduqués dans le but d'en faire des pourvoyeurs, des protecteurs physiques, moraux et financiers. Certains garçons sont depuis l'enfance élevés à prendre des risques, à être plus violents, à être considérés comme sacrifiables, à être prêts à risquer leur vie dans le but de protéger les autres. La valeur de la vie d'une femme seraient ainsi plus élevée que celle d'un homme.
@ Elizabeth, ma réponse
 


En fait, je pense que tu te méprends sur le féminisme, sur ses revendications, sur ce qu'il dénonce et sur ce à quoi il aspire. Le féminisme que je défend part du principe qu'en dehors de certaines différences anatomiques, les hommes et les femmes disposent du même potentiel intellectuel, mais que la société, en ayant des attentes différentes vis-à-vis de chaque sexe, les obligent à se conformer à certains comportements. En clair, les différences qu'on prête aux hommes et aux femmes sont culturelles, tiennent de l'acquis par opposition à l'inné. Ce ne sont que des constructions,qu'on appelle aussi des genres, qu'on peut déconstruire, afin de laisser chacun exploiter au mieu son potentiel. A partir de là, les discriminations qu'on nous inflige parce que nous serions soit-disant "naturellement" moins compétentes, plus faibles, moins fortes, moins scientifiques, plus émotionnelles, etc. n'ont pas lieu d'être. Je demande les mêmes avantages et les mêmes chances que les hommes, et dans un souci de cohérence, je suis prête à renoncer à certains privilèges découlant d'une vision très stéréotypées des sexes. Les femmes ne seraient pas les seules à tirer des avantages de cette égalité, parce que les hommes aussi peuvent être discriminés sur la base de ces stéréotypes de genre. Je pense par exemple au gardes parentales qui seront plus facilement attribuées aux femmes, parce qu'elles sont supposées être plus maternelles. On va aussi considérer qu'un homme n'a pas à exprimer sa sensibilité parce qu'il est sensé être fort et viril.
 
Tu parles de te défendre contre un agresseur. On est d'accord, c'est mieux de ne pas se laisser marcher sur les pieds dans la vie, et d'ailleurs ça irait plutôt dans le sens des revendications féministes. Mais si cet agresseur t'a attaquée parce que tu étais une femme, lui mettre ton poing dans l'oeil ne suffit pas à établir l'égalité... c'est un travail de fond sur les mentalités qui doit être opéré.
 
Quant à accepter l'aide d'un homme, je ne vois ce que cela a de sexiste, à moins que cet homme ne te vienne en aide parce qu'il est un homme et parce que tu es une femme (cas typique de la galanterie par ex). Mais sinon quand on me tient une porte, qu'on m'aide à soulever ma valise ou qu'on me porte secours contre un agresseur, je me fiche du sexe de la personne, il s'agit simplement du "bien vivre ensembles" le plus élémentaire, et il serait stupide dans une situation difficile, de refuser de l'aide parce que je suis une femme et que j'ai supposèment, plus de choses à prouver..
.A force de lire des interventions de pseudo-jeunes-féministes sur le Net, j'en conclus qu'être "féministe" se réduit parfois à :
 
@ a mépriser tout détenteur de chromosome Y que l'on ne connaît pas personnellement
 
@ placer "phallocratie" "hétérosexisme" et "viol" dans toutes ses phrases
 
@ tout ramener à l'oppression sexuelle :
- codes vestimentaires,
- publicité,
- institutions, sentiments,
- DSK...-
 
Arrêtez les Nanas de vous enliser dans un délire de persécution !
 

Pierre-Alexandre
A propos 
  
         des Féministes d' antan
                                                           Et des Néo féministes !
 

Au regard de la situation internationale, je ne dis pas que les femmes n'ont pas besoin d'améliorer leur condition. Je pense, fondamentalement, que l'action politique se joue à plusieurs, que seule l'union fait effectivement la force dans certains cas, que le militantisme, comme la révolution, n'est pas un diner de gala, ça je peux le comprendre. Mais  les Nanas qui dans les soirées viennent me dire qu'elles sont féministes et comme les Homos me balancent, par défi,  qu' elles en sont fières, si elles savaient comme je m' en tape, ça n'a aucun sens pour moi, et franchement tant mieux pour elles si ce positionnement trouve un écho, une force ou je ne sais quoi, mais à mes yeux ça n'a aucune valeur.
 
OUI, NON  ! Désoléee les Nanas mais  je ne suis pas féministe, je n' ai rien à revendiquer, je ne milite nulle part, je ne défends et ne fais pas progresser les droits des femmes d'aucune manière concrète dans ma vie quotidienne, vous pouvez pensez que je suis une personne sans coeur c'est horrible mais c'est ainsi !  Il existe encore des Gens, et j' en fais partie, qui ne sont affiliés à aucune chapelle et qui ne portent aucun étendard puisé dans toutes ces nouvelles idéologies, qui ne cherchent pas à tout transformer en cause identitaire réactionnaire stéréotypées, et qui ne sont pas pour autant d' infâmes crétines ou crétins . J' ai choisis depuis longtemps la voie de l' humanisme, l' unique fil conducteur de ma vie . Voilà, c' est dit !