Dans les années 70 et 80, la littérature passait avant la morale; aujourd’hui, la morale passe avant la littérature. Moralement, c’est un progrès. Nous sommes plus ou moins les produits intellectuels et moraux d’un pays et, surtout, d’une époque Pivot !
Supposé...avec sa fille Adèle ...
« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m’avez choisi, moi, et pas les autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. » Daniel Cohn-Bendit
En vrac et en bref
 
harceleurs, triporteurs et violeurs mélangés, ou supposés
en dehors de ceux déjà cités
 
Harvey Weinstein
Charles Trenet
André Gide
Roger Peyrefitte
Daniel Cohn-Bendit
Victor Hugo
Henry de Montherlant
Marc Dutroux
Jack Lang
Frédéric Mitterand
Jeffrey Epstein
Michel Fourniret
Josef Fritzl
Kevin Spacey
Yves Montand
Michael Jackson ....
 
Bon ! J' arrête là tous ces hommes me dégoûtent mais les femmes ne sont pas en reste dans ce genre de saloperies commises sur des enfants y compris sur leurs propres gamins ( affaire d' Outreau )
Je passe mon temps à me faire copieusement insulter sur les réseaux sociaux parce que je défends bec et ongles  Roman Polanski ! Non parce qu'il est l' un des grands cinéastes français que j' apprécie mais à cause de son parcours de vie ! C 'est un résilient à sa façon lui qui a connu le ghetto de Cracovie, perdu sa mère à Auschwitz, et vécu le drame atroce du meurtre de son épouse Sharon Tate, assassinée dans des conditions épouvantables par une bande de cinglés dégénérés. Ce qui peut lui accorder des circonstances atténuantes selon moi.
 
On peut comprendre que cet Homme, quand bien même il a commis des actes répréhensibles parce que lui aussi était porté sur de très jeunes filles, soit non pas excusé mais que lui soit accordé le droit à l' oubli comme le demande d' ailleurs sa victime.
 
Je ne peux comprendre que la dernière génération s' acharne sur lui. Et bien que j' ignore ce que veut dire le mot pardon, il y a un temps pour la colère et un autre non pour l' oubli au sens strict du mot, mais disons savoir prendre de la distance avec les faits, en les laissant derrière soi quitte à se retourner sur eux à l' occasion, seulement à l' occasion, car entretenir la haine ou le dégoût en soi c' est malsain et peu digne d' un être humain ! Nous n' avons pas à juger et à condamner, les professionnels de la justice sont là pour ça ! Et compte tenu de ce qu' on lui colle sur le dos depuis tout ce temps, il a largement payé sa faute y compris d' une carrière internationale prometteuse  à qui il a dû renoncer !
2 janvier 2020
"Jouir sans entraves", ce slogan  de mai 68 fut la principale source d'abus sexuels
Le 26 janvier 1977, Matzneff rédige un appel en faveur de trois hommes inculpés d'attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans. Parmi les 69 signataires, on trouve Louis Aragon, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Patrice Chéreau, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Catherine Millet. Le 23 mai de la même année, il cosigne (avec notamment Jean-Paul Sartre, Philippe Sollers, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Françoise Dolto ou Jacques Derrida) une lettre ouverte à la commission de révision du code pénal qui exige que soient « abrogés ou profondément modifiés » les articles de loi concernant « le détournement de mineur », dans le sens « d'une reconnaissance du droit de l'enfant et de l'adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix ». Ces demandes s’inscrivent dans la théorisation d'une libération sexuelle totale, faisant des enfants des êtres qui devraient bénéficier des mêmes droits que les adultes, comme celui de faire l’amour. À l’époque, l’idée de leur non-consentement évident n'est pas prise en compte12. Matzneff est soutenu par Le Monde — dans lequel il tient une chronique hebdomadaire à partir de 1977 — et Libération.
 
Tous des gens de Gauche !
 
" La complaisance envers Gabriel Matzneff, accusé de pédophilie dit quelque chose de la France" affirme-t-elle !
A raison !!!
NB : si je viens vous  parler de pédophilie, de viol  et d' abus sexuels sur des enfants ou des adolescents mineurs  c' est parce qu' en tant qu' enfant et plus tard en tant que mère  j' ai été confrontée à ces abjections répugnantes ce qui a détruit en partie ma vie !
 
Dans le 1er cas, qui me concernait directement, je fus violée à l' âge de 9 ans par un proche de ma famille par alliance après avoir été, quatre ans plus tôt, tripotée par un ecclésiastique censé m' apprendre le piano, lui aussi faisait partie de mon entourage immédiat. Grâce à mon esprit résilient, bien que ce mot était encore inemployé  à l' époque dans le langage commun, je réussis néanmoins à me reconstruire et je me revois  le soir de mes noces me jetant à l' eau en me disant " Puisque je dois y passer alors autant que cela s' accomplisse au mieux en y mettant beaucoup de bonne volonté...
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Entre temps, et malgré mon jeune âge, je m' étais jurée que si un homme s' avisait de me toucher à nouveau, je le tuerai ! Cela dépassait sans doute ma pensée mais je suis sûre que mise en situation, contrainte et forcée, j' emploierai les grands moyens et même les pires si je le devais, sans hésiter !....Les messieurs que je connus par la suite ne m' ennuyèrent jamais. Ils devaient inconsciemment sentir le danger  à venir si leur insistance se faisait trop pressante. Je n' ai jamais été une consommatrice de sexe et jamais une seule fois je n' ai accepté d' être consommée !
 
Dans le deuxième cas ce fut en tant que mère que je fus frappée et une fois de plus par un familier, un collègue avec qui je travaillais et à qui j' avais dû confier ma fille quelques semaines pour cause de déplacement professionnel. Responsable mais aucunement coupable car je faisais une totale confiance à cet homme qui en tant qu' éducateur avait l' habitude de côtoyer le jeune public. Grossière erreur !  j' avais eu la bêtise de confier mon enfant dans un lieu privé qu' il devait partager avec elle. Est-ce son appartement privé qui l' incita à passer à l' action ? Ou bien, ce qui n' est pas exclu, vu l' âge de la gamine qui avait 15 ans et 6 mois à l' époque, qui se mit en tête de poser à la Lolita en essuyant la vaisselle de ce célibataire endurçi ? ( il avait le double de son âge ).  Je n' en ai jamais rien su, les deux coupables se renvoyant la balle, et étant moi-même en grande fragilité affective et sociale la " Lolita " en herbe une fois de retour at home chez moi à Paris, choisit de repartir vivre dans la cambrouse auprès de son père après m' avoir traînée dans la boue sans doute pour se justifier.....
 
Ma vie se brisa en deux ce jour là sous la violence de ces deux chocs vécus à 3 mois d' intervalle. C' était un soir du 23 juillet 1985 ! Je n' ai jamais rien su de ce qui s' était passé et malgré la somme de ces évènements graves ma confiance dans le genre humain ne s' altéra jamais. Même encore ! Cela étant sans doute dû au fait que je plaçais très haut l' image de l' Homme, dont celle de ce Père que je n' ai jamais connu. Les Hommes ne pouvaient pas être tous des salauds. Et j' ai eu raison de ne pas les jeter tous dans le même sac pour les noyer comme aiment à le faire toutes ces féministes hystériques, de qui je me sens  proche à ....des années lumières tant je les excècre ces pétasses. Quatre hommes m' ayant fait du mal mais les femmes bien plus encore à commencer par ma propre mère suivie de ma propre gamine, coincée entre elles deux. Ce qui fait que tout ce que je suis capable de pardonner à un homme, il m' est impossible de le faire pour une  femme mais j' ai une excuse ayant été élevée par des hommes et pas n' importe lesquels....Je me sens en totale osmose avec leur système de pensée. Nous voyageons sur la même ligne.
 

A propos de mères, nous sommes nous aussi plus ou moins responsables dans ces affaires de moeurs. Quelle idée a eu la Mère de Samantha Geiler d' envoyer sa gosse dans le repaire de brigands de Jack Nicholson pour faire des Photos, ainsi que la mère de  Flavie Flament dans celui de David Hamilton qui n' aimait rien tant que photographier les jeunes filles en fleur allant jusqu' à innonder le marché de la photo. Peut-être, elles comme moi, avaient confiance en ces hommes. Mais peut-être pas ! Allez savoir ce qui se passait dans la tête de ces mères !!! Je ne parle que de ce que j' ai vécu en tant que maman au cours de ce douloureux été.
 
Nous les mères de ces enfants avons été responsables ou plutôt irresponsables car trop confiantes, mais ces adolescentes ont aussi leur part de responsabilités si modestes soient-elles. Bien peu d' entres elles sont vraiment violées, ne pas oublier qu' à cet âge elles sont déjà des adultes en devenir qui s' excitent toutes seules rien que pour le plaisir d' exciter parfois les Hommes qui n' attendent que cela, plus ou moins  conscientes de comprendre  qu' elles jouent avec le feu qui risque de les dévorer. Je parle pour les adolescentes pubères plus évoluées côté sexe que nous autres les Baby-Boomers dans les années 60.
 

Pour conclure sur cet encart, j' ignore si Catherine B;;;;est prête à cette heure à rejoindre le mouvement Me Too après s' être mise à réfléchir 34 ans plus tard,  d' ailleurs ça ne m' intéresse pas de le savoir, c' est sa vie ! Je lui souhaite juste de n' avoir pas trop souffert à postériori de ces actes commis très jeune avec un type qui avait largement le double de son âge et qu' il ne l' a peut-être pas forcé à les commettre.  En espérant pour elle que sa vie amoureuse et sexuelle ait été heureusement accomplie dans le bonheur. Contrairement à l' image vraie de ces pauvres filles qui ont été séduites à l' insu de leur plein gré par ces prédateurs et qui ne s' en sont jamais remises. Souhaitons alors pour elles   que la mise à jour, par des condamnations effectives, morales ou judiciaires,  de ces pratiques sexuelles odieuses leurs apportent un apaisement en rejetant la faute sur ceux qui les ont abîmées et non sur leur propre innocence. La culpabilité d' avoir dû laissé faire j' ai connu comme tant d' autres , fillettes innocentes que nous étions,  qui ne pouvaient comprendre ce qui leur arrivait.
 
Pour ma part,  bienheureuses les courageuses résilientes qui ont su et savent faire la part des choses ! Ce qui m' a permis, même si cela arriva très tard dans ma vie, de connaître grands et petits bonheurs avec des Hommes remarquables qui m'ont menée là où le tout premier épousé fut bien incapable ! Mais dois-je lui en vouloir ? J' aurais peut-être dû coucher avec lui avant le mariage, comme certaines de mes copines qui se vantaient de l' avoir fait avec leurs fiancés, pour savoir de quoi été capable un homme dans l' intimité des draps de lit.  Femmes comme Hommes nous étions dans ces temps là si mal informés  des choses de la sexualité. Au moins l' année 68 a dévérouillé tout cela et, mis à part les  lions fougueux qui furent lâchés  - ce qui leur permit de commettre bien des excès - reconnaître qu' avec la pilule ce fut malgré tout une avancée remarquable pour l' égalité sexuelle entre hommes et femmes !
Mais le mieux pour comprendre c' est de prendre ces histoires à la base dans le cas exclusif du consentement sexuel, quand  une femme consent à coucher lorsque son mari a envie et quelle est fatigué, cela serait un viol ! Non !!!  il ne faut tout de même pas exagérer ! Victimiser à ce point les femmes en les infantilisant.
 
Bernard  Bachelet
Il était interdit d' interdire !
 
Dans l' attente de trouver un autre titre ....
Je profite de l' occasion qui m' est donnée pour revenir sur d' autres affaires en cours à propos de Polanski par exemple,....car à contrario il ne s' agit pas de pathologiser ce qu' est la vie en société pour mieux taper sur les hommes, tous les hommes et les mâles blancs de plus de cinquante ans en particulier, comme le font avec tant d' ardeur les féministes hystériques aidées par le mouvement Me Too. On en vient à criminaliser tous ces bonhommes en leur faisant porter tous les chapeaux à propos de tous les choix de vie consentis, ou pas,  en dehors du fait qu' ils ne sont pas motivés par la joie et le désir. Des femmes savent aussi coucher sans joie et  pour le plaisir de l' argent, ou pour se faire un nom grâce à la célébrite de l' amant de passage ! Enfin comme l' a très bien dit Alain Finkelkraut dans une émission de télé  : "  Il y a quelques années un viol était un acte très violent forcé sur la victime et commis avec pénétration ( vaginale ou sodomie ), les attouchements, caresses, harcèlements et tutti quanti n' étaient pas considérés comme viol ! ". Polanski ne fut que la première bête immonde à abattre retrouvée pour l' occasion  lors de ce changement de paradigme alors que sa victime lui avait pardonné et demandait à tous qu' on en parle plus. Voilà pourquoi ces nouvelles victimes, vraies ou fausses,  conduites sous la férule de certaines féministes hystériques, je dis bien HYSTERIQUES, se réveillent sur le tard, l' occasion étant trop belle  ! Je sais je me répète encore mais je ne peux plus les supporter ces pitoyables nénettes et pour cause ! Ces dernières feraient mieux de se battre pour des combats autrement plus réfléchis comme la mise à niveau du salaire des femmes, mais non elles font juste une fixette sur ces ignobles porteurs de couilles qu' elles entendent zigouiller tant leur propre malaise haineux est grand.  Ce qui entraîne  d' anciennes starlettes à se réveiller ainsi que toutes les jeunes bisounours actuelles qui leur emboîtent le pas !   Ainsi tout se retrouve mélangé alors qu' un Polanski, si tordu qu' il fut  à l' époque, n' a rien à voir avec un Matzneff qui lui se vanta ouvertement dans ses bouquins d' avoir fait des choses innomables, l' époque,  sexuellement débridée,  le lui ayant permis  sous prétexte de Cul' ture. Au moins Polanski, même s' il fut condamnable,  fut plus discret. et n' entraîna que lui dans ses dérives.                                 
 

Résultat : on paye ainsi des Associations, pour créer une philosophie dans l' ère du temps présent qui vise à récrire   l'histoire, en aggravant les faits dans le seul but de se porter victime et de dépeindre l' homme en bourreau manipulateur tyranniqu. Et pour certaines dans l' espoir de toucher des indemnités... Et les merdias, encore eux,  sont complices de cette idéologie discriminatoire délétère.
 

Ainsi va le système dit du balancier, jamais en équilibre mais toujours trop penché  d' un côté pour un peu plus tard basculer vers l' autre.
Je me souviens de ce beau film de David Lean, cinéaste de renom,  sorti en 1970 et descendu en flèche par la quasi totalité de la presse, à commencer par l' internationale. C' était un film romantique mais gare à celui ou celle qui avait le malheur d' avoir apprécié ce film  et de prononcer ce mot ROMANTIQUE l' heure n' étant plus DU TOUT au romantisme.
Il aura fallu des années pour voir enfin, des réactions saines face aux turpitudes de ce monsieur Gabriel Matzneff qui les a depuis le temps si complaisamment couchées dans ses livres  !... J'étais encore jeune en 1990 quand j'ai assisté avec stupéfaction à l'émission Apostrophes de Pivot où Mme Denise Bombardier, seule contre tous, défendit  courageusement sa position... De la majorité des téléspectateurs je revois encore les ricanements stupides d'une participante et la tête de Bernard Pivot qui ne fut  pas le dernier à savourer les provocations de cet écrivain, quoi qu’il prétende aujourd’hui. Et le comble est la volée de bois vert que Mme Denise Bombardier  reçu le lendemain de la part de la presse bien pensante de l'époque : le Monde et Libération entre autres ! Cette  bien-pensance, deux  décennies après mai 68,  fonctionnait  alors à plein régime. Le tout pour continuer de promouvoir une idéologie permissive mortifère remplie de mensonges sous prétexte de modernité et d' évolution  car cette Gauche jouisseuse permettait ou, pire, excusait tout,  " Sus à toute morale dépassée, rétrograde "  clamaient-ils puisqu'"  il est interdit d' interdire. " et que nous nous devons de " jouir sans entrave " !
 
Inutile d' ajouter après cela  que tout le milieu " intellectualo-parisiano-bobo " s' est depuis de plus en plus ancré à Gauche sous prétexte  d' évolution  est-ce bien utile ?.  Non ! les gens l' ont à présent compris dans leur grande majorité depuis l' affaire DSK ( et la mise en route de mesures sociétales très discutables dont je reparlerai )  ! On ne dénonce pas les turpitudes des éminents Intellectuels de cette Gauche Caviar au contraire on les invite, on les couvre, on les décore, on leur tisse des lauriers ! Le dénommé Pierre Berger, financier du Parti Socialiste, en fut l' un des principaux porte-paroles et pour cause.
 
Gageons que si tous ces intellos-polico-cultureux  avaient été "de Droite", les réactions auraient été plus vives et condamnables  !
 
Donc bravo au courage de Mme Bombardier car oui   il en fallait,  pour être à contre-courant  et s'opposer à ce qui, à l'époque, était vendu comme socialement progressiste, je sais je me répète. On parle de nos jours  de lanceurs d'alertes Mme Bombardier en fut une avant l' heure sauvant en cela notre propre conscience, prouvant à nos enfants et petits-enfants que nous n'étions pas tous des pervers. J' en fus et le suis toujours depuis en tant qu' esprit LIBRE,  acoquinée à aucune mode et  convaincue que mon esprit indépendant m' a gardé de toute méprise ou dérive en ne suivant pas le troupeau.
 
En conclusion cela  devrait nous servir de leçon pour la période présente. Ne pas accepter les idées toutes faites qui nous sont servies comme vérités incontestables par les valeurs issues de cette Gauche soixante-huitarde toujours en cours  sous le fumeux prétexte d' égalité, ressorti de l' armoire depuis peu. " Valeurs " véhiculées entre autres par les réseaux sociaux et les Merdias  à la solde du pouvoir qui nous livrent du prêt à penser à longueurs de journée.
 
Par la grâce d' un esprit LIBRE essayons de faire ce simple  exercice : quels sont les actes, les situations, les comportements, que nous acceptons ou pratiquons de nos jours  et qui nous sembleront inacceptables dans 40 ans. Je vous accorde que pour certaines personnes au cerveau pollué par la doxa ambiante  rien n' est  facile mais elles peuvent toujours essayer !
 
Aujourd'hui cet homme a 83 ans, et il ne lui arrivera plus grand chose pénalement ! Il peut continuer à se pousser du col compte tenu de ses relations culturelles et CUL' turelles !!!