A peine le Père Noël rentré chez lui en Finlande et la moitié des jouets qu'il vient de livrer mis hors service par des hordes d'enfants gâtés,
on prend une nouvelle année et on recommence,
histoire de remettre également le couvert pour ce premier janvier et ce en vertu de salutaires préceptes réitérés d'année en année.
Donc vous et moi re re commençons !
Quel périlleux exercice pourtant par les temps qui courent, d'avoir à présenter ou re re présenter des voeux à des relations diverses et variées que cela agace la plupart du temps pour des raisons d'ailleurs fort opposées.
Point n'est besoin, en effet de recevoir des souhaits pour :
espérer, entreprendre, persévérer et réussir.
Avec ou sans la santé d'ailleurs qu'on se le dise. Quant à oser venir souhaiter de " bonnes et joyeuses fêtes "de fin d' année à des gens isolés, sans travail, sans logement, sans papiers et sans le sou, à mon humble avis c'est parfaitement déplacé de la part de ceux et celles qui n' ignorent rien des conditions dans lequelles les Personnes à qui ils adressent leurs bons voeux survivent en tirant, d' année en année, le diable par la queue. Mais bon, ce n'est que mon avis ayant plus d' une fois souffert de ces conventions aussi hypocrites qu' inutiles qui ne coûte à ces gens si bien intentionnés qu' un peu de salive. J' ai trop connu lors de mes années de très grande misère, et le jour de Noël en particulier.
Fêtes de faim damnée en vérité.
Mais, bon ! à vous de faire comme vous le sentez.
C' est juste pour signifier mon désa...voeux perso si il vous intéresse, voir....
Cela dit on m'appelle Elizabeth et non Cassandra...Je ne ferai jamais partie du clan des oiseaux de mauvaises augures et autres pisse-froids. Donc je compte, une année de plus, pour continuer à conjuguer le verbe AIMER, à tous les temps désormais : présent et futur du Bescherel de la conjugaison, mode impératif à l'appui en cas de nécessité absolue.
Car pour le passé, par COEUR j'ai déjà tout appris en faisant :